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Critique du livre : Culs blancs & gueules noires 

Depuis des décennies, mes lectures ne comportaient aucun roman. Dans cet état d’esprit, je me suis toutefois attelé à la lecture de ton livre (Merci pour la dédicace). J’ai de suite été conquis et n’ai eu de cesse qu’après en être arrivé à la dernière page, regrettant qu’il n’y en n’ait encore quelques-unes.

            A Musson, la notion de mine nous était familière grâce à l’extraction de minerais de fer. Il n’y a jamais eu d’enfants y travaillant donc ces situations ne nous ont jamais effleuré l’esprit. Ton livre nous fait découvrir un pan d’histoire, de triste histoire. Zola n’avait - à ma connaissance - jamais osé aborder ce thème et je comprends maintenant la raison à première vue interpellante exprimée en page 6, « Les propos relatés sont assumés par l’auteur… ». Il fallait oser !  Bravo.

            De plus, le lecteur (moi en l’occurrence) plonge dans cette fin de 19e siècle.  L’intrigue est bien menée et en excellent français ce qui ne gâte rien. Les personnages apparaissent,  réels, on ne les devine pas, on les voit. La douleur des protagonistes est perceptible et donne à réflexion nous reliant à ces tragédies inhérentes à la pédophilie et révélée par les média.

            Je m’en tiens là car, ainsi que dit une maxime « Ne flatte point ton frère, ce serait le trahir ».
Merci Jean-Luc pour ce beau travail.

Au grand plaisir de te revoir.

Bien amicalement,

Pierrot.

Critique du livre : Sus aux hérétiques !

 

 

 

Cher Jean Luc,

 

C’est avec grand plaisir que j’ai lu ce roman. Les cathares et leurs châteaux, les luttes , les massacres…que de péripéties.

J’admire ton travail de recherche fouillée pour présenter « la petite histoire » si proche de la « grande ».

 

Bon dimanche.

Bisous à vous deux.

 

Colette

Critique du livre :  Destins et secrets

 

Bonjour Jean-Luc,

 

Imagination débordante sur fonds d’une réalité historique.

Joli tour de” pass- pass” de l’auteur qui incite le lecteur à

poursuivre sa lecture jusqu’à l’épilogue.

Eloge aussi, tant soit peu objective sur l’ossature, la structure,

telle que construite, du roman.

La transition du secteur médical vers le secteur littéraire est

réussie.

On invite l’auteur à poursuivre cette union de l’imaginatif

avec l’histoire vécue dans notre monde.

Je dis bravo!

 

Patrick.  F (Kiwanis)

Critique du livre : Culs Blanc & Gueules Noires



Bonjour Docteur ce petit mail ,comme vous me l avez demandé,  afin de vous donner mes impressions.
J ai lu le bouquin d une traite tellement j étais plongé dans l histoire.
De plus les noms de ces personnages ne me laissent pas de bois même s ils sont imaginaires dans ce livre. Mais un docteur Henrion a bien existé à une autre époque ainsi que le serveur Victor que j ai connu non pas dans ce resto mais bien chez Godefroid à Dour...
En un mot continuez sur votre lancée.  J attends le plat principal maintenant
Respectueusement
Yves Dautel

 

 

Réponse :

 

Bonjour cher Monsieur,
En cette période de sinistrose votre avis me met du baume au coeur. Parlez en à vos amis et connaissances ,partagez votre impression . Pour un écrivain qui ne vit pas de sa plume l’intérêt que son oeuvre suscite est une joie immense.
Victor ou Vittorio pour les intimes... travaillait bien au restaurant qui était tenu par Paul Godefroid( dans mon livre le patron des armes de dour); Clément Henrion était Chirurgien et a travaillé à Boussu à la clin  Amory puis au centre hospitalier d’Hornu…..
Mes meilleurs sentiments.

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